2016
Création de l'association
Rebond a été fondé en 2016 en pleine procédure pénale par Angelique Cauchy et ses 3 co-victimes du même entraineur.
Une association pour à la fois venir en aide aux victimes de violences dans le sport lorsqu'elles étaient mineures, et protéger les enfants d’aujourd’hui pour qu’ils pratiquent leur sport en toute sécurité dans un milieu bienveillant qui les aide à se construire …
Rebond a donc 2 missions : aider les victimes à se reconstruire, prévenir les violences dans le sport pour protéger les enfants d’aujourd’hui. Une prévention qui passe par des projets de sensibilisation et formation pour tous les publics
Prévenir, Sensibiliser, Agir, ensemble
Le nom de l'association, Rebond, reflète l’idée de résilience, de se relever après une épreuve difficile, et de redonner confiance aux jeunes victimes, afin qu’ils puissent, à leur tour, rebondir vers un avenir plus serein.
Nous organisons des campagnes de formation à destination des éducateurs, des clubs sportifs, des parents et des enfants eux-mêmes, afin de créer un environnement de sport plus sûr, plus respectueux et plus épanouissant.
Le travail de l'association repose sur l'écoute, la bienveillance et l'accompagnement sur mesure. Chaque enfant victime de violences ou d’abus mérite une chance de guérir, de reprendre confiance en soi et de redécouvrir la joie du sport dans un cadre sécurisé.
Rebond : Prévenir, sensibiliser, agir ensemble pour offrir à chaque enfant un avenir serein dans le sport.
2025
Encore beaucoup à faire...
Ensemble
Angélique Cauchy retrace son histoire ainsi que les différentes étapes des procès dans ce livre-témoignage paru en 2024 aux éditions Stock.
« J’ai écrit ce livre pour mon fils. Pour qu’il ne soit ni victime ni agresseur. Je le dois à la petite fille que j’étais et grâce à laquelle je suis encore en vie. »
Alors qu’elle n’avait que 12 ans, Angélique Cauchy est tombée sous l’emprise de son entraîneur de tennis. L’enfer qu’elle a vécu, les viols, les agressions, les humiliations, son entrée en résistance à 13 ans pour se sortir des griffes de son prédateur, elle s’en rappelle parfaitement.
Quinze ans plus tard, un appel de deux anciennes coéquipières lui apprend qu’elle n’est pas la seule victime. Pour elles, pour toutes les autres, elle décide de rompre le silence.
L’histoire d’Angélique n’est pas un cas isolé. Un enfant sur sept dans le sport est victime de violences. À travers son témoignage, elle nous exhorte à écouter, croire et protéger l’enfance. Un livre d’une force inouïe, qui touche au coeur et nous laisse un peu meilleurs.
